Ce poème t’honore,
Oui toi qui fut bien celle,
Qui es partie à l’aurore,
Au même âge que Marcelle.
Oui, tu devais naître au printemps,
Mais tu arrivas dès janvier,
Dans l’hiver, le froid, le vent,
Dans la ferme ; prématurée.
Voilà que tu pars au printemps,
Le premier jour de ma retraite,
Tu étais surtout ma maman,
Une femme simple et discrète.
JMP (© 2025)
*(91 ans : Marcelle sa maman, dont c’est la fête aujourd’hui)