Sur le site web de ma ville je lis : Soirée parentalité “Parlons ados” avec Christine Cannard, psychologue clinicienne et Docteure en psychologie de l’enfant et de l’adolescent. Nous pourrions parler à deux, déjà. Et ensuite Canard WC, pourquoi nous tourner le dos ? Le tournedos (de canard)*, c’est beau ; mais le turn-bike c’est classe ! “Avec ça, je tourne ma moto facilement dans le canard garage” dit ma femme. Pour les motos sans béquille centrale, c’est fondamental (et oui les moto sans pédale, c’est plutôt bancal) ! Mais revenons à nos dos-à-dos tournedos, où retournons-nous plutôt. Une annonce comme celle-là, ne peut laisser indifférent, vu la détresse mentale de nombre d’adolescents. Il leur faut une béquille centrale bien sûr ! Et c’est là que Christine assure (Christina Cordula sûre ?) Parce que pour les gars, c’est une chose (la quille) mais alors pour les filles !? Je pense qu’elle parle à elles, Christine. Et oui, une fille en moto, c’est pas banal, et c’est sûr il faut savoir “parler argot” ! Car déjà pour préparer le permis, avec les moniteurs, t’es vite larguée si t’as pas un mot. Et puis dire qu’ils parlent vite dans ton dos est une peccadille. En plus les engins de moto-école n’ont pas de béquille (centrale). Sûr, elles sont pas toutes faites pour les filles. Souvent la garde au sol est haute quand vient le feu orange. Et pendant que tu regardes les canetons traverser sur le passage piétons, tu sens que doucement tu le perds l’équilibre. La pointe de tes pieds sur le macadam, “dis bonjour à la Dame” car elle va te voir t’affaler sur le côté. Et les canards, de se disperser sur la chaussée. Moi je dis : “Où sont les parents ?” Car de la soupe doit manger régulièrement un adolescent. En effet, un motard ne doit pas être gavé comme un canard laqué, mais en fait, ne pas oublier les épinards ! Sinon comment voulez-vous “parler canard ados” ? Et à moto, c’est ballot (pour tourner et aussi psy_loter)…

JMP (© 2024)

* pour le tournedos de canard frais, je recommande la ferme des Roumevies qui privilégie les canards de Barbarie : “Nous sommes agriculteurs et éleveurs en Périgord Noir depuis 17 générations et la ferme est exploitée par notre famille depuis au moins l’an 1640**. Nous avons pu transmettre de génération en génération les savoir-faire caractéristiques de la gastronomie de notre terroir. Nous avons aussi su faire évoluer nos outils et nos méthodes d’élevage et de fabrication pour minimiser notre emprunte environnementale. Depuis toujours, on élève des palmipèdes ici et tous nos produits sont concoctés à partir de canards de Barbarie…”

** “…dès 1664, nous avons brassé un peu de bière, et du vent aussi…” témoigne encore celui qui régit la ferme des canards de Barbarie (NDLR).

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