On le voyait par intermittence,
Avec sa longue queue arborée,
Il feignait toujours l’indifférence,
Comme s’il était seul dans la forêt.
C’était un petit ami peureux,
Il habitait bien notre jardin,
Autant que le geai gélatineux,
Geignait bel et bien dans le jasmin.
JMP (© 2024)
Cf. “Le geai gélatineux geignait dans le jasmin” de René de Obaldia.