C’est une nuit de 31 décembre,
Sur ma route, me fis surprendre,
Par les gorges, rentrant au volant,
Au détour du troisième tournant,
Je la vis, blanche, dans mes phares,
Ceci, malgré un épais brouillard,
Je me souviens de ma frayeur,
De ce fantôme et sa blancheur.
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